
J’adore les crêpes, pas seulement à la chandeleur.
Et j’adore jouer avec la nourriture, surtout quand la surface de la pâte à crêpe te fait rêver à la Lune…
« Walking on the moon« …
Lire la suiteJ’adore les crêpes, pas seulement à la chandeleur.
Et j’adore jouer avec la nourriture, surtout quand la surface de la pâte à crêpe te fait rêver à la Lune…
« Walking on the moon« …
Lire la suiteIl aura fallu attendre 13 ans pour découvrir la suite d’Avatar. Est-ce que ça en valait la peine ?
Avec Avatar 2 : La Voie de l’Eau, James Cameron propose du grand spectacle, bien raconté, avec un beau message écologique. Le film, un peu long et parfois un peu lent, ne révolutionne pas le cinéma, mais confirme le savoir-faire du cinéaste.
Rendez-vous dans 15 ans pour le troisième épisode ?
Pénuries, bouleversements climatiques, guerres et violences, on se croirait dans les films Mad Max, non ?
C’est en cherchant une idée pour ma carte de voeux 2023, que j’ai fait ce constat. Ce que George Miller imaginait il y a 40 ans dans son film est (presque) devenu réalité en 2022. J’ai donc joué un peu avec l’idée et réalisé ce dessin.
Lire la suiteDepuis des mois, le prince Harry déballe son linge sale de plateau télé en documentaire Netflix, d’interview exclusive en déclaration tapageuse. Et voilà qu’à présent sort le livre.
A force de le voir larmoyer à gauche et à droite sur la façon trop injuste avec laquelle la Royal Family l’a traité, j’ai pensé à ce petit personnage de mon enfance, le mignon et malchanceux Caliméro. Et j’ai réalisé ce mashup.
La première saison de House of the Dragon, la prequel de Game of Thrones, est terminée. Dix épisodes riches en émotions et en coups de théâtre où l’on retrouve (à peu près) tout ce qu’on aimait dans Game of Thrones.
La série m’avait déjà inspiré un premier dessin. En voici la suite : une animation entièrement conçue, dessinée et animée avec Procreate sur iPad, tout en regardant les péripéties de Rhaenyra et Daemon Targaryen.
Il s’agit d’une sorte d’expérimentation, largement improvisée, en vue de tester les fonctions et les possibilités de Procreate en matière d’animation. Cette petite application est décidément très puissante.
L’animation, ce n’est pas plus compliqué que la bande dessinée. Il faut juste encore plus de patience !
Lire la suiteJe n’étais pas hypé par l’annonce de la série House of the Dragon, la suite/spin off/prequel de Game of Thrones. Est-ce que ce sera aussi bien ?
Et puis, j’ai regardé les premiers épisodes…
Lire la suiteLa reine est morte, vive le roi !
Le roi Charles III succède à sa mère Elizabeth II à l’âge de 73 ans. Il commence sa vie professionnelle à l’âge où la plupart des gens l’achèvent ou profitent de leur retraite.
Lire la suiteLa sortie de Jurassic World : Dominion (Jurassic World : le monde d’après en VF) coïncide presque avec le 30e anniversaire du premier épisode de cette saga monstrueusement lucrative, Jurassic Park.
J’ai rassemblé dans cette courte vidéo les dessins inspirés par les dinosaures de tonton Spielberg. Je les ai reliftés et animés pour l’occasion.
Fan de la saga, je n’ai pas pu m’empêcher de la parodier et de la tourner en dérision. Grâce à ces dessins, retournons donc dans cet univers jurassique.
En 1993, j’ai vu Jurassic Park au cinéma. Presque 30 ans après, je me souviens encore de ce moment spécial, de la combinaison d’effets spéciaux révolutionnaires et de l’inouï son digital, de l’impression de réalisme et de la réalisation inspirée de Steven Spielberg.
Le film a été suivi de deux suites, The Lost World (1997) et Jurassic Park III, qui ne lui arrivaient pas à la hauteur. Puis, les dinosaures ont disparu à nouveau.
Pour fêter son 20e anniversaire, Jurassic Park a eu droit à une ressortie au cinéma dans une version 3D. Honnêtement, je ne me rappelle pas si cette conversion en 3D apportait beaucoup au film, mais j’ai dessiné un premier dessin sur ce blog pour marquer l’événement.
Cette ressortie ouvrait la voie à un tout nouveau film, Jurassic World, produit par Spielberg et réalisé par Colin Trevorrow. Conçu à la fois comme une suite et un reboot, le film était annoncé comme le début d’une nouvelle trilogie.
Jurassic World, dans une logique « plus vite, plus grand, plus spectaculaire« , n’arrivait jamais à vraiment reproduire le charme du film initial, malgré beaucoup d’action, une ou deux séquences nostalgiques et quelques easter eggs. Ce dessin, publié après avoir vu le film, résume mon manque d’enthousiasme.
Remplacer le « Park » du titre par « World », annonçait clairement la couleur. Dans le deuxième épisode de la nouvelle trilogie, les dinos doivent fuir l’île qui les abritait jusque-là à cause d’une éruption volcanique.
Le récit qui s’ensuit est rocambolesque et chargé jusqu’à la gueule d’action, opposant les gentils, qui veulent préserver les animaux, aux méchants trafiquants.
En le découvrant au cinéma, le film me laisse indifférent. Il y a trop d’action et d’invraisemblances pour s’attacher aux personnages. Plutôt que de commenter le scénario ou le contenu du film, je masque ma déception avec ce dessin mordant.
A la fin du deuxième volet de la trilogie Jurassic World, la boîte de Pandore était ouverte et les dinosaures étaient libérés dans la nature. Le troisième épisode se déroule donc dans un « monde d’après« , où les humains doivent cohabiter avec les dinos.
Retardé pour cause de pandémie, ce volet final boucle la boucle et voit revenir le trio du premier film : Sam Neill (Alan Grant), Laura Dern (Ellie Sattler) et Jeff Goldblum (Ian Malcolm).
Abordant le thème des manipulations génétiques et de leurs conséquences écologiques, le film est lui-même un monstre génétique. L’ADN Jurassic Park a été largement gonflé avec celui des Indiana Jones et des James Bond, dans un scénario qui multiplie les intrigues. Les dinosaures sont relégués au rang de faire-valoir et, passé la joie des retrouvailles, le spectateur a un peu de mal à s’attacher aux personnages humains.
On termine avec ce dessin tout frais, qui replonge aux origines de cette saga inégale, mais tellement inspirante.
Ici s’arrête la saga Jurassic Park. L’avenir est incertain, mais avec de tels résultats au box-office, les dinosaures cinématographiques ne sont certainement pas éteints.