En vacances, je ne me lasse pas de dessiner. Sur la plage, sans carnet ni crayon, c’est sur le sable et au doigt que j’ai dessiné ce visage familier. Ce personnage que je pourrais presque dessiner les yeux fermés à présent.
Un dessin éphémère, que bientôt la marée effacera. Ou alors le vent. Ou les pas de ces enfants courant sur la plage.